Une veuve dans des circonstances pauvres, ou d'une nature faible, et qui se alliés de nouveau à un homme, est appelé une veuve se remarie.
Les adeptes de Babhravya disent qu'une veuve vierge ne doit pas épouser une personne dont elle peut être obligé de quitter en raison de son mauvais caractère, ou de son dénués des excellentes qualités d'un homme, elle est donc obligé d'avoir recours à un autre personne.
Gonardiya est d'avis que la cause de la marier de veuve est à nouveau son désir de bonheur, et le bonheur est garanti par la possession d'excellentes qualités de son mari, a rejoint à l'amour de la jouissance, il est donc préférable d'obtenir une personne dotée de ces qualités en première instance.
Vatsyayana pense cependant qu'une veuve peut épouser une personne qu'elle aime, et qu'elle pense va lui convenir.
Au moment de son mariage la veuve doit obtenir de son mari l'argent pour payer le coût de beuveries, et les pique-niques avec ses relations, et de ses amis et les dons et cadeaux bienveillants donner; ou elle peut faire ces choses à son propre coût si elle aime.
De la même manière, elle peut porter soit des ornements de son mari ou de son propre. Quant aux cadeaux d'affection échange mutuel entre le mari et elle-même il n'y a pas de règle fixe à leur sujet.
Si elle quitte son mari après le mariage de son propre gré, elle doit lui rendre tout ce qu'il a pu lui donner, à l'exception des cadeaux mutuels. Si toutefois elle est chassée de la maison par son mari, elle ne devrait pas revenir tout de lui.
Après son mariage, elle doit vivre dans la maison de son mari comme l'un des principaux membres de la famille, mais doit traiter les autres dames de la famille avec gentillesse, les serviteurs générosité, et tous les amis de la maison avec familiarité et bonne humeur.
Elle doit montrer qu'elle est plus ample connaissance avec les soixante-quatre arts que les autres dames de la maison, et dans toutes les querelles avec son mari, elle ne devrait pas lui reprocher sévèrement mais en privé faire tout ce qu'il veut, et faire usage de la soixante -quatre façons de plaisir.
Elle devrait être complaisant avec les autres épouses de son mari, et leurs enfants, elle devrait donner des cadeaux, se comporter comme leur maîtresse, et faire des ornements et des jouets pour leur utilisation.
Dans les amis et les serviteurs de son mari, elle doit confier plus que dans ses autres épouses, et enfin elle doit avoir un goût pour boire parties, aller à un pique-nique, participation à des foires et des festivals, et d'effectuer toutes sortes de jeux et de divertissements.
Ainsi finit la conduite d'une veuve vierge remariée.
Une femme qui est détesté par son mari, et ennuyé et affligé par ses autres épouses, devrait associer à la femme qui est le plus aimé par son mari, et qui lui sert plus que les autres, et devrait lui enseigner tous les arts dont elle connaît.
Elle doit agir comme infirmière aux enfants de son mari, et avoir gagné plus de ses amis à ses côtés, devraient, par leur font de lui la connaissance de son dévouement pour lui.
Dans les cérémonies religieuses, elle devrait être un leader, comme aussi de vœux et des jeûnes, et ne doit pas contenir trop bonne opinion d'elle-même.
Quand son mari est couché sur son lit, elle ne doit aller près de lui quand il lui est agréable, et ne devrait jamais lui faire des reproches, ou montrer obstination en aucune façon.
Si son mari arrive à se quereller avec aucun de ses autres épouses, elle devrait les réconcilier avec l'autre, et si il veut voir une femme secrètement, elle doit gérer à provoquer la rencontre entre eux.
Elle devrait en outre faire se familiariser avec les points faibles de caractère de son mari, mais toujours garder secrets, et dans l'ensemble se comporter d'une façon telle que le conduire à la regarder comme une bonne et épouse dévouée.
Ici se termine la conduite d'une femme détesté par son mari.
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